Puisqu’il faut bien que quelqu’un se lance 
Je suis passionné de spatial depuis bien longtemps, convaincu que j’irai un jour dans l’espace depuis le premier vol de SpaceShip One en 2004, et engagé dans divers projets amateurs spatiaux depuis que j’ai participé en septembre 2012 à la première non-conférence SpaceUp en Europe.
J’ai notamment rejoint le hackerspace Electrolab de Nanterre en 2013 avec l’objectif de concevoir et fabriquer un moteur hybride open source, dans le cadre du projet Opennautics, abandonné depuis.
Au sein de l’Electrolab, j’ai contribué à la fabrication et au lancement de la fusée expérimentale Alpha Rocket.
J’ai ensuite en l’occasion de participer à la réunion de fondation d’Open Space Makers, et en suis devenu le premier président.
Le spatial me passionne notamment pour sa capacité à rassembler au-delà des frontières, des cultures, des genres et des races. J’ai toujours à l’esprit qu’au plus fort des dernières crises entre la Russie et les Etats-Unis, l’un des derniers points de coopération ininterrompue était le fonctionnement de la station spatiale internationale. Et l’espace reste toujours autant qu’en 1960 une nouvelle frontière à explorer, exploration pour laquelle 7,5 milliards d’êtres humains ne seront pas de trop pour contribuer !