A propos de la navigation du chasseur Dryade

Je transmets ici un commentaire reçu récemment sur le projet, pour prise en compte éventuelle si opportun :

C’est intéressant mais il y a un gros problème, c’est la navigation du chasseur pour atteindre un débris, laquelle doit être automatique. En plus, un débris est souvent animé d’un mouvement de rotation, ce qui complique énormément la capture.

Il me semble qu’adresser ce point fait parti des objectifs des tests en milieu aquatique, @marsat tu confirmes ?

Il y a des années de ça, j’avais travaillé sur un avant-projet du CNES pour un système de désorbitation de très gros débris, comme des étages de lanceurs.
Il y a plusieurs problématiques à aborder. La rotation du débris est sans aucun doute l’une des problématiques clés. Et la masse est une autre problématique. Si le chasseur doit s’amarrer, il est important qu’il puisse gérer l’énergie cinétique de celui-ci.

Effectivement, nous réalisons avec Share My Space un démonstrateur sous-marin pour tester les technologies de détection, d’amarrage mais aussi en vue de calculer et simuler les déplacements du satellite ainsi que le carburant qu’il faudra utiliser pour réaliser la manoeuvre.